Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/10/2016

L'ABBAYE DE SYLVANES (2)

Intérieur de l'Abbaye de SYLVANES (Aveyron).aveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanès

aveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanèsaveyron,tourisme,loisirs,régions,abbaye de sylvanès

01/11/2014

Ma visite au Prieuré St Michel de Grandmont dans le Lodévois

J'ai réalisé cette vidéo après ma visite au PRIEURE SAINT MICHEL DE GRANDMONT, dans l'Hérault, près de Lodève, cette semaine, dont j'avais publié plusieurs notes sur ce blog.

Je vous laisse la découvrir ici :

https://www.youtube.com/watch?v=jO85tv-8dUE&index=2&list=UUiRwMhM3HsdSDRR299xrYVQ


 

 

11/06/2012

FOURS A PAIN EN LOZERE

Dans les montagnes, ils ont parfois fonctionné jusque dans les années 70.

sud,régions,tourisme,lozère,curiositéssud,régions,tourisme,lozère,curiosités

 sud,régions,tourisme,lozère,curiosités

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 sud,régions,tourisme,lozère,curiosités

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est le propre des montagnes d'avoir longtemps été isolées et ce, parfois, jusqu'à une époque récente.

En Lozère, de nombreux villages vivaient en quasi-autarcie. Sur le Mont-Lozère, beaucoup avaient un four à pain communal. Tout comme le moulin, cet édifice fut, jusqu'à la Révolution de 1789, un édifice seigneural.

Le four à pain est une maisonnette sans fenêtre ou avec un fenestrou, surmontée d'une cheminée.

Le toit est souvent arrondi. L'architecture est traditionnelle : schiste ou granit et toit de lauzes protègent la chambre de chauffe semi-circulaire. La voûte (on dit "la boule") est tapissée de briques qui diffusent la chaleur.

Si vous poussez la porte, vous verrez les étagères de lauzes où l'on postait les miches encore chaudes. La pelle à enfourner et l'écouvillon, ou l'escoube, sont parfois encore en place.

Les paysans cultivaient eux-mêmes leur grain qu'ils fauchaient à la daille (grande faux) et le portaient au moulin proche.

Le four, le "couipo", était chauffé avec du genevrier durant 3 bonnes heures.

On enfournait le pain à l'aide d'une grande pelle en bois, la "pare", et la porte était colmatée avec... de la bouse de vache appliquée à la main.

Le four était parfois utilisé par plusieurs familles du village.

Chaque village avait l'habitude de profiter de la chaleur du four pour mitonner quelque plat.

A maints endroits, pour régaler les enfants, on cuisait le reste de pâte avec de la pomme ou de la poire.

Actuellement, beaucoup de villages ont pris conscience que leur four à pain mérite d'être conservé, voire restauré parce qu'il appartient à la mémoire collective.

 

 

20/11/2010

LA JONTE (1) entre Aigoual et Grands Causses

LA JONTE Introduction.jpgSuivre la Jonte de sa source à son confluent avec le Tarn revient à voyager en compagnie d'un guide qui vous initie aux secrets des régions qu'il traverse.

En quarante kilomètres, la rivière parcourt des pays que tout oppose et qui, pourtant, sont étroitement complémentaires : des pays à deux étages, composés de hautes terres cévenoles et caussenardes, et des vallées où se rejoignent les torrents avant qu'ils ne s'engouffrent dans l'univers vertical des gorges. Suivre la Jonte, c'est aussi apprendre à lire dans les paysages le travail du temps, de l'érosion et des hommes qui y ont écrit leur histoire.

L'aventure de la Jonte commence sur les flancs nord du mont Aiguoual, là où les versants sont tout en courbes et en relief ondoyants, adoucis encore par le manteau vert des forêts. Sous le col de Prat-Peirot, dans l'échancrure d'un valat (vallée cévenole) granitique, à 1 350 mètres d'attitude, les neiges hivernales donnent naissance à un ruisselet qui, tournant le dos à la Méditerranée, s'en va rejoindre l'Océan.

De la table d'orientation de l'Observatoire météorologique, la vue s'étend jusqu'à l'horizon : d'est en ouest, les eaux de la Jonte, de la Brèze et du Béthuzon ont creusé trois vallées cévenoles presque parallèles qui se rejoignent à Meyrueis, sous les corniches du Causse Méjean. Les longues échines de trois serres (sommets allongés) séparent ces vallées couronnées par les tracés millénaires des drailles dont celle de la Lusette l'un des plus célèbres chemins moutonniers de la région : autrefois, des milliers d'ovins originaires des garrigues montpelliéraines allaient estiver dans l'herbe grasse des pâturages d'Aubrac et de la Margeride.

Aujourd'hui, le GR 60 perpétue l'antique voie qui court tout droit sur la crête de cette aigo-vers (eaux versantes, ligne de partage des eaux) jusqu'au hameau de Cabrillac où se tenait jusqu'au début du XX ème siècle, l'une des plus fameuses foires d'Occitanie. Au milieu des genêts, la draille arrive ensuite à l'isthme de Péjuret, véritable pont naturel reliant l'Aigoual granitique à la vastitude calcaire du Causse Méjean et ombilic providentiel pour les piétons de toutes sortes. Ici, se situe l'exacte limite des anciens diocèses de Mende et de Nimes, c'est à dire des confins antiques du pays des Gabales et de clui des Volques Arécomiques.

15:59 Publié dans LOZERE | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : régions, tourisme, sud, histoire

05/08/2010

LA CATHEDRALE SAINT PIERRE de MONTPELLIER

26 double porte entrée cathédrale st pierre dim (929 x 696).jpg25 entrée cathédrale st pierre dim (929 x 696).jpg31 fac médecine et cathédrale st pierre (929 x 696).jpg14 côté cathédrale st pierre dim (929 x 696).jpg22 haut entrée cath st pierre dim (929 x 696).jpgLa cathédrale St Pierre était à l'origine la chapelle du Monastère bénédictin de Saint BENOIT, fondée en 1364 par le Pape Urbain V. Actuellement, la cour d'honneur de la faculté de médecine est l'ancien cloître du monastère Saint BENOIT.

L'église était composée d'un vaisseau unique, de 5 travées délimitant les chapelles latérales au nombre de 14.

A la fin du XVIème siècle, on la surnomme le "fort Saint Pierre".

L'une des façades était couronnée par des mâchicoulis surmontés de créneaux. L'entrée était précédée d'un porche massif composé de 2 piliers cylindriques et d'une voute reliant les piliers à la façade de l'égilse.

Ce sont les seuls éléments de l'architecture médiévale de la cathédrale que l'on peut encore observer aujourd'hui.

Durant les guerres de religion, la cathédrale a été la cible des attaques protestantes en 1561.

En 6 heures, l'église est complètement dépouillée. Cependant, les Consuls de la ville (protestants) réussissent à préserver le trésor en établissant un inventaire.

En 1567, la cathédrale subit les assauts des protestants qui vont s'attaquer au batiment. Une tour s'effondre entraînant avec elle l'ensemble du bâtiment. Le Roi fit aussitôt reconstruire la cathédrale.

Les travaux dirigés par Revoil de 1855 à 1875 aboutissent à une reconstruction de la tour clocher et l'ajout de chapelles rayonnantes.

07/06/2010

LE LAURAGAIS (2)

vue.jpgLe Lauragais est un pays cathare sans châteaux cathares à visiter.

Il est formé d'une plaine faite de plates collines où les arbres sont, en certains lieux, rareté, mais en d'autres futaie.

Il est une terre de transition entre le Languedoc et l'Aquitaine et de passage pour des voyageurs, pèlerins et commerçants venant de bien plus loin.

Depuis toujours le Lauragais a l'agriculture pour vocation, grâce à son faible relief et l'étendue de sols profonds et fertiles. Dès la sédentarisation de l'homme, la culture et l'élevage y ont progressé. Beaucoup plus tard, au XVIème siècle, avec l'importance du pastel, on pourra presque parler d'une culture industrielle faisant la richesse des négociants toulousains. La richesse était aussi l'apanage des paysans si l'on en croit l'appellation flatteuse de la région au XVème siècle : "Le Pays de Cocagne".

Mais, bien avant cela, le Lauragais était en avance sur son temps lorsqu'il s'agissait de transformation des produits de la terre. C'est peut être au milieu du XIIème siècle qu'à Besplas et Pexiora tournèrent les premiers moulins à vent, technique nouvelle venue d'Orient avec les croisades. Aujourd'hui, avec le tourisme qui les réhabilite, les moulins à vent restent toujours associés à l'image du Lauragais. Mais, depuis bien longtemps, les exploitations agricoles se sont tournées vers le remenbrement, la polyculture, la technique de pointe et la performance, avec les productions oléagineuses et fourragères, le maraîchage et l'élevage. Dans les villages, les puissants tracteurs et les moissonneuses ultramodernes s'activent aux champs ou dorment sous les hangars, tandis que les imposants silos à céréales se dressent un peu partout. C'est le moutonnement d'un patchwork de couleurs qui change avec les saisons : blé, sorgho, maïs, colza, tournesol...

Les haies y paraissent filiformes, maigrichonnes : les rares bosquets y sont des îlets languissants... Pour le voyageur qui file de Carcassonne à Toulouse sur l'autoroute des Deux Mers, le paysage pourrait être sans charme ni joie. Pourtant la séduction est bien réelle : la lumière joue un rôle de premier ordre en cela, véritable magicienne des éléments. Vents et nuages, ondées et arcs-en-ciel, matins de brume et midis radieux jouent continuellement avec elle. C'est cette orchestration bucolique de la nature qui a sans doute inspiré tant de poètes et troubadours depuis de temps de "Fine Amor" où, sous sa peau de loup, Pèire Vidal rimait : "j'ai le coeur joyeux en voyant ce temps si doux et le château de Fanjeaux qui me semble paradis...".

10/05/2010

NIMES LE VIEUX (3)

NIMES LE VIEUX CHAOS.jpgDans le village de l'Hom se trouvent de vieilles maisons de pierres et un chemin jadis emprunté par les boeufs qu'on menait paître. Sur la trace du bouvier et de ses boeufs vous découvrirez le plus bel ensemble de rochers ruiniformes du causse Méjean : Nîmes le Vieux.

Ce chemin du bouvier est concrétisé dès les premiers mètres du sentier par un "ferradou" en bois, lieu où les animaux, et particulièrement les boeufs, étaient ferrés.

Vous entrerez ensuite dans le chaos de Nîmes le Vieux sur le sentier aménagé par le Parc National des Cévennes, un sentier jalonné par plusieurs tables de lecture traitant du paysage mais aussi de la flore et de la faune, ou encore de la géologie ou des légendes se rattachant à ce site.

Le premier de ces panneaux intitulé "Un paysage fait main" explique les grandes lignes du paysage en rapport avec les modes de vie agricole et pastorale qui ont modelé ces terres.

On y apprend en particulier que les rochers des Causses (calcaire et dolomie) se sont formés au fond des mers qui recouvraient la région. Le calcaire dessine les croupes et les creux, tandis que la dolomie dresse les rochers ruiniformes et les corniches bordant le plateau.

Il va sans dire que les pâturages environnants et les plantes herbacées ont favorisé les caches pour les oiseaux sédentaires ou migrateurs.

Le faucon crécelle, le traquet motteux, le merle de roche, l'alouette lulu, la pie grièche trouvent ici à la fois abri et nourriture.

07/03/2010

LE HAUT LANGUEDOC (4)

saint_pons.jpgOLARGUES.jpgCols et vallées sont les lieux de passage privilégiés des échanges entre plaines et montagnes. Ici, les cols de Font-Froide et du Cabaretou sont des emplacements stratégiques. Sur les voies qui y passent se sont créées des villes importantes : Saint-Pons-de-Thomières et Olargues.

Depuis la nuit des temps, un réseau de voies de communication s'est développé dans cette terre-carrefour. A travers les âges, elles se recoupent souvent.

Au néolithique, les hommes pratiquent la transhumance. Les drailles qu'ils empruntent ont été fréquentées par les troupeaux jusqu'à ce siècle. Les témoignages de cette période abondent. Dans la région de Saint-Pons, quelques gisements riches en industrie osseuse ont valu à la civilisation locale d'être baptisée le Saint-Poniens. Les statues-menhirs dont une centaine ont été recensés dans le Haut-Languedoc, les plus beaux se trouvant dans le Tarn. Ce sont aussi les dolmens et les cupules creusées dans des dalles. Elles auraient été utilisées pour des offrandes liquides liées au culte auquel seraient mêlés les dolmens. Il existe aussi de nombreux vestiges d'un art dit schématique. Ce sont des gravures piquetées dans la roche. Elles représentent généralement des pieds ou des bonhommes stylisés.

05/01/2010

LES CABANES DE L'ETANG DE L'OR

cabanes_de_lansargues.jpgL'eau affleure dans les marais. Les pluies ont noyé les triangles et les joncs.

Des échasses aux pattes rouges fouillent la vase.

Au bout du chemin défoncé, brille l'étang de l'or.

Quatre baraquettes bordent un canal. Ce sont les cabanes de Lansargues. Personne n'y vit mais derrière les terres humides, au coeur même du village, veille la mémoire des cabaniers.

Autrefois, une mer intérieure, dite la mer de Pline, s'étendait entre Narbonne et Beaucaire. La région a toujours été habitée car elle offrait de multiples richesses mais les habitants se retranchaient dans des camps fortifiés. Il y avait des raids de pirates d'Afrique du Nord et d'Espagne. Les gens exploitaient les marais et parfois finissaient esclaves à Barcelone ou en Afrique. C'est la raison pour laquelle il n'y avait pas de construction au bord de la mer mais de nombreux forts à PALAVAS, au Grand Travers.

cabanes lansargues.jpgDes abris temporaires servaient de refuge occasionnel aux hommes qui exploitaient cette bande côtière. C'étaient des prédateurs qui pratiquaient la chasse, la pêche, la cueillette. Ils récoltaient les herbes des marais pour les troupeaux.

La prise d'Alger en 1830 met fin aux razzias. Les habitants renforcent les abris. Chacun eu le sien. C'étaient des cabanes. Partout ailleurs, il y avait la propriété mais, ici, cette notion était lâche. Ils réparaient une barrière quand ils avaient le temps. Sur leurs terres chassait qui voulait sauf quand il y avait les troupeaux de moutons. On n'y vivait pas mais les gens assez rupins prenaient le chemin des cabanes en fin de semaine avec le cheval et la carriole et, à la tombée de la nuit, ils se postaient à l'affût dans les marais et se racontaient des blagues. Car qui dit cabane, dit chasse. La chasse traditionnelle a été abandonné après la 2ème guerre mondiale pour des chasses plus lucratives venues du Nord. On utilisait alors des appelants au lieu des appeaux en liège.

Le rabataire ou negachi est le plus petit des bâteaux à fond plat nécessaire pour naviguer sur les étangs peu profonds. Son occupant peut utiliser les rames mais surtout des perches en bois appelées partègne ou rouquet. Ce dernier se termine par une fourche à 2 dents en fer scellées au plomb pour mieux couler. Car le rouquet disparaît sous l'eau. Le chasseur le maintien d'une main couché au fond du negachi. il rabale ainsi, invisible et silencieux, vers un escapoulon de macreuses (groupe de foulques languedociennes). Pour rabaler, on met de la graisse de cochon sur les mains pour le froid. Avec un fusil à sept coups, il fallait tirer tant qu'il restait des cartouches. A cette époque, il y avait du gibier. L'étang de l'or nourrissait 250 familles. Aujourd'hui, il en reste très peu.

Jusqu'à la fin des années 60, l'étang de l'or était réputé pour ses battues aux macreuses. Dès le moins d'octobre, plusieurs milliers de ces oiseaux arrivaient sur l'étang pour y séjourner une partie de l'hiver. Traditionnellement, les battues avaient lieu tous les dimanches matin. Embarqués sur leurs négafols, les chasseurs tentaient d'approcher à la partègue ou à la rame (le moteur était interdit) l'escapouillon de macreuses qui stationnaient au milieu de l'étang. Après une approche longue et fastidieuse, la plupart des oiseaux se levaient hors de portée des fusils et franchissaient le cordon littoral pour gagner la mer d'un envol rectiligne. Aujourd'hui, l'étang de l'or trop salé est moins attrayant pour les foulques.

15/11/2009

VILLENEUVE LES AVIGNON N° 5

Les livrées cardinalices

villeneuve-lez-avignon-collegiale-notre-dame.jpgElles sont groupées dans la ville neuve aux rues droites aboutissant à une place centrale où se trouvaient l'église et le marché et où fleurissent aujourd'hui les terrasses des cafés. Elles témoignent du grand enrichissement de VILLENEUVE, alors entraînée dans le sillage de l'évènement que représente l'arrivée du pape et de sa cour. La papauté va jouer un rôle de catalyseur dans un processus de création qui fait d'AVIGNON un remarquable foyer de vie artistique où se côtoient des artistes de diverses nationalités. On en trouve le prolongement dans ces vastes demeures accordées aux prélats.

collégiale Norez Dame.jpgLe Cardinal Arnaud de Via transforma la sienne en collégiale. La Collégiale Notre-Dame (1334) profite de fortifications qui n'en font pour autant pas un fortin, mais qui la rendent légèrement insolite en pleine ville. On dit que le roi participe à la création de son chapitre de chanoines. Le cloître, placé latéralement, faisait partie de l'ancienne livrée. L'église, nef unique flanquée de chapelles latérales aménagées dans les contreforts, est un des premiers exemples du type en Languedoc et en Provence. Elle contient beaucoup de vestiges de la mémoire de Villenuve, des objets déplacés provenant de l'abbaye Saint André ou de la Chartreuse.

Il est curieux de constater qu'au moment où une imposante population curiale trouve sa résidence en ville, la royauté, elle, fait édifier les fortifications de la tour Philippe le Bel et du Fort Saint André.

Par l'ensemble de ses trésors, Villeneuve est un lieu de visite pour lequel on peut se passionner. Et ce n'est pas nouveau puisque les administrateurs municipaux, déjà en 1800, déclaraient que le "peuple y était singulièrement attaché" (Alain Girard dans son livre sur le musée de Villeneuve).